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Communiqué du 11 septembre 2006
IRCANTEC – PART VARIABLE : la dégringolade continue
Le moins que l’on puisse dire est que la période d’été n’aura pas permis aux Pouvoirs Publics de changer leur approche des problèmes liés à notre statut.
Réuni vendredi au Ministère une nouvelle fois, l’audit que nous réclamons sur l’IRCANTEC a été refusé.
Le mystère s’épaissit, le flou persiste, la catastrophe est maintenant certaine. Quoi qu’il en soit, ce ne sont pas les mesurettes proposées qui atténueront la diminution de nos retraites programmées à 30 % minimum. Comprenne qui pourra ! On demande à la cause de soigner les conséquences. Il est à craindre que les Pouvoirs Publics nous prennent pour des zozos.
Quant à la PART VARIABLE, qui n’est pas la priorité de nos collègues, les Pouvoirs Publics nous imposent des discussions interminables et fantomatiques puisqu’elles reposent sur des bases législatives inexistantes.
Indépendamment du financement improbable de cette mesure, le contour obscur des critères d’attribution nous font craindre le pire quant à sa distribution.
L’INPH met en garde ceux qui ont pu croire en l’extension immédiate à toutes les spécialités.
Rien ne permet de l’affirmer.
Tout conduit à ne pas le croire.
L’élection Présidentielle commence à produire des ravages. Les marquis de cabinet sont sans doute davantage préoccupés par leur propre avenir que par l’amélioration de notre carrière et de notre statut.
La seule exigence des Praticiens Hospitaliers est de retrouver des Pouvoirs Publics conscients de nos réalités de terrain.
Aujourd’hui nous en sommes loin.
Docteur R. BOCHER
Présidente
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Le moins que l’on puisse dire est que la période d’été n’aura pas permis aux Pouvoirs Publics de changer leur approche des problèmes liés à notre statut.
Réuni vendredi au Ministère une nouvelle fois, l’audit que nous réclamons sur l’IRCANTEC a été refusé.
Le mystère s’épaissit, le flou persiste, la catastrophe est maintenant certaine. Quoi qu’il en soit, ce ne sont pas les mesurettes proposées qui atténueront la diminution de nos retraites programmées à 30 % minimum. Comprenne qui pourra ! On demande à la cause de soigner les conséquences. Il est à craindre que les Pouvoirs Publics nous prennent pour des zozos.
Quant à la PART VARIABLE, qui n’est pas la priorité de nos collègues, les Pouvoirs Publics nous imposent des discussions interminables et fantomatiques puisqu’elles reposent sur des bases législatives inexistantes.
Indépendamment du financement improbable de cette mesure, le contour obscur des critères d’attribution nous font craindre le pire quant à sa distribution.
L’INPH met en garde ceux qui ont pu croire en l’extension immédiate à toutes les spécialités.
Rien ne permet de l’affirmer.
Tout conduit à ne pas le croire.
L’élection Présidentielle commence à produire des ravages. Les marquis de cabinet sont sans doute davantage préoccupés par leur propre avenir que par l’amélioration de notre carrière et de notre statut.
La seule exigence des Praticiens Hospitaliers est de retrouver des Pouvoirs Publics conscients de nos réalités de terrain.
Aujourd’hui nous en sommes loin.
Docteur R. BOCHER
Présidente