Vie syndicale
Samu-Urgences de France est adhérant de l'intersyndicale "ACTION PRATICIENS HOPITAL (APH)", née en novembre 2015 du rassemblement de deux intersyndicales de Praticiens Hospitaliers, Avenir Hospitalier et la Confédération des Praticiens des Hôpitaux.
Anesthésistes, urgentistes et autres médecins assurant la permanence des soins hospitalière demandent aux plus hautes autorités de l'état que le ministère de la santé tienne ses engagements
Il y a un an, la Fédération de la Permanence des soins Hospitalière (FPSH) conduisait un mouvement social largement suivi et recueillant un écho très favorable auprès de la population.
Le 7 Février 2008, ce long conflit s'achevait par la signature, entre la DHOS et la FPSH, d'un protocole d'accord sur l'engagement d'une concertation relative à la permanence des soins.
Les thématiques suivantes devaient être abordées : décompte du temps de travail, pénibilité au travail, conditions de valorisation et de reconnaissance du temps de travail de permanence des soins.
Au terme de quelques réunions, un relevé de conclusions sur la reconnaissance et la valorisation de la permanence des soins hospitalière a été signé le 21 mai 2008.
Mais depuis, et en dépit des engagements formels qui avaient été pris, plus rien !
Cette rupture unilatérale a été le fait de la DHOS. La FPSH, de son côté, n'a cessé de réclamer la poursuite du travail de concertation engagé.
Aujourd'hui, de la façon la plus solennelle, la FPSH demande aux plus hautes autorités de l'État que le Ministère de la Santé tienne ses engagements et reprenne immédiatement la concertation.
En l'absence de réponse concrète et rapide, la colère des anesthésistes, des urgentistes et, plus généralement, de tous les médecins de terrain participant à la permanence des soins hospitalière ne pourrait que se renforcer
Le 7 Février 2008, ce long conflit s'achevait par la signature, entre la DHOS et la FPSH, d'un protocole d'accord sur l'engagement d'une concertation relative à la permanence des soins.
Les thématiques suivantes devaient être abordées : décompte du temps de travail, pénibilité au travail, conditions de valorisation et de reconnaissance du temps de travail de permanence des soins.
Au terme de quelques réunions, un relevé de conclusions sur la reconnaissance et la valorisation de la permanence des soins hospitalière a été signé le 21 mai 2008.
Mais depuis, et en dépit des engagements formels qui avaient été pris, plus rien !
Cette rupture unilatérale a été le fait de la DHOS. La FPSH, de son côté, n'a cessé de réclamer la poursuite du travail de concertation engagé.
Aujourd'hui, de la façon la plus solennelle, la FPSH demande aux plus hautes autorités de l'État que le Ministère de la Santé tienne ses engagements et reprenne immédiatement la concertation.
En l'absence de réponse concrète et rapide, la colère des anesthésistes, des urgentistes et, plus généralement, de tous les médecins de terrain participant à la permanence des soins hospitalière ne pourrait que se renforcer
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