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Il y a 865 article(s) dans la rubrique

  • CP-APH 05/12/2023 : les praticiens hospitaliers privés de revalorisation du compte épargne-temps [...]

    Publié le 05/12/2023

    Le 29 novembre 2023 est paru au Journal Officiel un arrêté revalorisant la monétisation des journées inscrites au Compte [...]

    Le 29 novembre 2023 est paru au Journal Officiel un arrêté revalorisant la monétisation des journées inscrites au Compte Epargne-Temps (CET) des agents de la fonction publique d’Etat, de la fonction publique hospitalière et de la magistrature.
    Les praticiens hospitaliers ne sont pas mentionnés… et après vérification auprès du Ministère, il ne s’agit pas d’une coquille…

  • CP [28/11/2023] : AME - La communauté médicale unie contre la réduction de l’Aide médicale [...]

    Publié le 28/11/2023

    L'Aide médicale de l'État (AME) est un dispositif d’aide sociale permettant aux étrangers en situation irrégulière résidant [...]

  • CP-SUdF [31/10/2023] : SUdF ne laissera pas les violences contre les professionnels des structures [...]

    Publié le 31/10/2023

    Samu-Urgences de France apporte tout son soutien aux équipes du SMUR de Moissac et à nos collègues pompiers du SDIS 82, qui ont [...]

    Samu-Urgences de France apporte tout son soutien aux équipes du SMUR de Moissac et à nos collègues pompiers du SDIS 82, qui ont été victimes d’une agression lors de l’intervention dans la nuit du 29 au 30 octobre.
    Quelles que soient les circonstances, la violence sur des professionnels portant secours à des tiers reste inacceptable, et doit faire l'objet systématiquement de poursuites.

  • CP-SUdF [15/09/2023] : CARHAIX - l’organisation des urgences ne peut pas répondre à des mesures [...]

    Publié le 15/09/2023

    Urgences CARHAIX et occupation des locaux de la DT ARS: l’organisation des urgences ne peut pas répondre à des mesures [...]

    Urgences CARHAIX et occupation des locaux de la DT ARS: l’organisation des urgences ne peut pas répondre à des mesures d’intimidation
    La situation du service des Urgences de CARHAIX est le reflet de la situation nationale des structures d’Urgences et des hôpitaux.
    Les difficultés majeures que nous avons connues cet été pour faire face aux fermetures des services d’urgence et des SMUR sur le territoire national perdurent et vont malheureusement s’amplifier.
    SUdF alerte depuis des mois sur les conditions de fonctionnement de nos structures d’Urgence et sur l’impact sans précédent des difficultés RH dans les hôpitaux sur l’ensemble du territoire national.


  • Résultat de l'enquête SUdF ETE 2023 - Quel bilan pour les urgences et les SMUR ?

    Publié le 06/09/2023

    La crise et l’insécurité sanitaire en France s’aggravent progressivement depuis plusieurs années, avec une nette [...]

    La crise et l’insécurité sanitaire en France s’aggravent progressivement depuis plusieurs années, avec une nette accélération après la période COVID. La situation de l’hôpital public s’est encore dégradée avec les difficultés majeures de recrutement de ressources paramédicales, la fermeture de lits d’hospitalisation, la moindre disponibilité de l’offre de soins libérale. Depuis avril, une tension supplémentaire sans précédent sur les ressources médicales hospitalières, conséquences de l’absence de valorisation suffisante de la permanence des soins couplée à l’application de la Loi .../...

    C’est dans ce contexte que SAMU-Urgences de France (SUdF) a tenu à effectuer un bilan de la situation dans les structures d’urgences sur les 2 mois de juillet et aout 2023.

  • Nouvelle lettre à Monsieur Aurélien ROUSSEAU, Ministre de la santé et de la prévention

    Publié le 18/08/2023

    Monsieur le Ministre, Par arrêté du 29 mars 2023, le précédent Ministre avait prolongé au 31 aout 2023 les [...]

    Monsieur le Ministre,

    Par arrêté du 29 mars 2023, le précédent Ministre avait prolongé au 31 aout 2023 les majorations des indemnités horaires pour travail de nuit. Cette prolongation devait permettre l’aboutissement du chantier sur la reconnaissance et la revalorisation de la pénibilité de la permanence des soins.

    Nous savons maintenant que ces travaux n’aboutiront pas dans les délais initialement prévus, et les professionnels, soignants et praticiens, s’inquiètent beaucoup sur la pérennité de ces mesures, notamment dans le contexte actuel et les difficultés de nombreux établissements pour maintenir les structures d’urgences ouvertes. Cet été aura encore été une épreuve pour les professionnels de nos services, leur épuisement est perceptible et nombreux sont ceux qui expriment leur envie de quitter le métier face à la dégradation continue des conditions de travail et d’exercice. Les mesures de revalorisation et d’amélioration de l’attractivité des carrières hospitalières que nous soutenons depuis plus d’un an deviennent maintenant urgentes.

  • Lettre à Monsieur Aurélien ROUSSEAU, Ministre de la santé et de la prévention

    Publié le 25/07/2023

    Monsieur le Ministre, Alors que vous venez de prendre la succession de François BRAUN à la tête du Ministère de la [...]

    Monsieur le Ministre,

    Alors que vous venez de prendre la succession de François BRAUN à la tête du Ministère de la Santé et de la Prévention,

  • Zéro brancard dans nos couloirs

    Publié le 05/07/2023

    Le 3 juillet a été une réussite ! Un grand merci pour votre mobilisation à tous, pour 1h, une demi-journée ou pour [...]

    Le 3 juillet a été une réussite !
    Un grand merci pour votre mobilisation à tous, pour 1h, une demi-journée ou pour la journée ! La mobilisation de chacun a permis de montrer notre détermination à défendre notre métier.
    La médiatisation a été massive sur le mouvement des urgentistes grâce à un investissement important du CA de SUdF, non seulement pour faire connaître cette mobilisation mais pour répondre à la presse le jour J.

     

  • Les menaces du bureau RH3 de la DGOS sont infondées !

    Publié le 01/07/2023

    Objet : Illégalité des modalités du mouvement de grève porté par SUdF Monsieur le Ministre,Madame la Directrice [...]

  • Régulation médicale d’accès aux urgences : qui, comment, où ?

    Publié le 30/06/2023

    La crise sanitaire de l’été 2022, conséquence d’une saturation de l’offre de soins en ville comme à [...]

    La crise sanitaire de l’été 2022, conséquence d’une saturation de l’offre de soins en ville comme à l’hôpital et de difficultés majeurs en ressources humaines a officialisé une pratique jusque-là exceptionnelle de régulation d’accès aux services d’accueil des urgences.
    La recommandation 23 de la mission flash Braun, a ainsi rendu possible cette régulation médicale des admissions en service d’urgence par dérogation, laquelle est toujours d’actualité en application d’arrêtés successifs.
    De nombreux services d’urgences, sont en situation d’encombrement chronique, voire de saturation conséquence d’un manque de ressources le plus souvent médicales, d’un aval déficitaire et d’une part de consultants inappropriés ne trouvant pour certains pas d’autre solution pour accéder aux soins. Une des solutions palliatives reste de diminuer le nombre de consultants. En France comme dans de nombreux pays, on le sait 30 à 40% des patients ne nécessitent pas l’expertise technique et médicale d’un service d’urgence et pourraient être pris en charge d’autres structures.
    La mise en place non préparée de cette régulation médicale préalable à l’accès des SU a cependant occasionné un transfert de charge sur les plateformes des Centre 15, les mettant en suractivité avec des ratios de personnels non adaptés.
    Un an plus tard, des départements ont organisé ce mode de régulation médicale d’accès essentiellement sur les horaires de nuit. Les résultats sont probants comme par exemple en Lot et Garonne, avec une baisse d’activité des SU de l’ordre de 10 à 15% sur l’activité globale et de 30 à 40% lorsque l’on prend uniquement en compte les patients se présentant spontanément. En regard, on observe une augmentation de l’activité des centres de régulation de 10 à 15%.
    La régulation d’accès des SU peut prendre plusieurs formes : l’accueil physique avec réorientation, ou la régulation médicale par le SAMU-SAS. Les 2 sont sans doute complémentaires. Le premier ne bénéficie pas à ce jour de valorisation, et il faudra nécessairement que la réforme de financement des SU intègre cette pratique. Le second dispose de réels avantages, en particulier celui de faciliter le bon parcours de soins pour chaque patient de par les outils qu’il utilise au quotidien.
    Le SAMU-SAS représente le bon outil pour proposer une régulation médicale de l’accès aux soins et l’identification du parcours de soins le plus adapté, deux éléments essentiels dans un système où l’offre est saturée voire rare.